Pour sa série « AMMO, Sabine Pearlman » a découpé plus de 900 munitions différentes en deux avant de les photographier pour en révéler la complexité intérieure.
Pour sa série « AMMO, Sabine Pearlman » a découpé plus de 900 munitions différentes en deux avant de les photographier pour en révéler la complexité intérieure.
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J’imagine que ça fait moitié moins mal ?
oui, t’es à moitié mort
Je me demande avec quoi elle a découpé pour réussir à pas mettre le feu à la poudre ??!!
Je pense qu’elle les a vidés avant de les découper et reconstituer :D
En général dans les munitions modernes la « poudre » ne brûlerait pas, c’est pourquoi il faut une amorce, c’est l’onde de choc de l’explosion de l’amorce qui fait exploser le reste…
Par ailleurs les munitions ne sont pas si sensibles que l’on pourrait le penser, il faut en effet garantir une certaine sécurité pour les « usagers » même en cas de transport mouvementé, chute, exposition à la chaleur etc…
Pendant mon service militaire on montait les lignes d’obus anti-aériens de 20mm (similaires à la première photo) en tapant au cul avec une maillet (en caoutchouc quand même hein ^^)
Sylvain : je pense qu’elle les à découpées vide, puis les à remplis à nouveau.
Il semble que c’est la munition qui fait tout le boulot : elle porte en elle sa propre force de propulsion .
L' » arme » ( fusil , pistolet …) ne servirait que de rampe de lancement et n’a donc pas de puissance par elle-même .
elle assure tout de même sécurité pour le tireur, précision, débit et accompagne même la puissance de propulsion par son canon. Mais c’est vrai que l’arme devrait désigner la cartouche, et non le fusils.
(et oui je répond 1 an après, c’est qu’il y en a, des dossier à rattraper ici)
La page était plus jolie avant , non ? Avec ses jolis alias …
Pas compris ?
Quand il y avait ces alias » par défaut » qui étaient bien faits .
» avatar » et pas « alias » hi hi
Ou l’art de la mort.