Au début des années 1700 Samuel Thornton s’est lancé dans la création d’un atlas des côtes du monde connu qui comporte plus de 160 cartes, avec une prédilection particulière pour le Royaume-Uni et la France.
Son choix de côtes à cartographier semble assez aléatoire de même que les échelles et les orientations.
Mais ce qui a retenu mon attention et qu’il n’avait peut-être pas anticipé, c’est que lorsque l’on trace des cartes sans se préoccuper des choses à terre, la mer étant elle-même assez vide, on se retrouve assez vite avec des cartes très minimalistes, composées d’un seul trait qui les coupe en deux.
Ses choix de composition parfois étranges qui placent la côte sur un bord de la carte rajoute à cette impression de vide qui n’est perturbée que par les lignes d’un système géodésique.
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