Murray Fredericks intervient pour sa série Vanity dans ces paysages très épurés en y ajoutant un miroir.
Celui-ci n’est pas tourné vers l’observateur mais lui présente au contraire une portion nouvelle du paysage qui vient augmenter ce qu’on pouvait en voir, dans un jeu de contrastes et de fondus.
Il invite ainsi le spectateur à se tourner vers autre chose que son propre reflet et à mieux observer son environnement.
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