Alexis Arnold utilise des vieux livres, magasines et manuels auxquels elle fait subir un processus chimique qui fait pousser des cristaux sur leurs pages les transformer en objets et symboliser leur fragilité et leur abandon possible avec la progression des livres numériques.
On dirait du sucre comme sur les chouquettes !
« symboliser leur fragilité et leur abandon possible avec la progression des livres numériques. »
Le deuxième livre est un livre en braille… je suis pas sûr qu’il craigne le Kindle.
Ca me fait rire quand même… et si on faisait subir le même choc chimique à un kindle?! lol