Lauren Marsolier utilise des éléments pris en photos à différents endroits pour les assembler et recomposer ainsi des paysages inexistants et pourtant familiers.
Lauren Marsolier utilise des éléments pris en photos à différents endroits pour les assembler et recomposer ainsi des paysages inexistants et pourtant familiers.
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J’aime le concept, c’est assez jolie.
J’ai froid
c’est fou le nombre de photos qui suggèrent l’absence comme ça… la mort, le vide, d’immenses enfers géométriques…ou alors c’est moi qui ne m’arrête que sur ces photos ?
Je partage totalement votre vision. Ce ne sont pas des univers rassurant, du moins ils évoquent des formes de vides anxiogènes. Ce genre d’endroits où tout est possible ; ces endroits que l’on retrouve dans des rêves où les cris restent à l’intérieur de la gorge.
C’est fou, c’est comme des lieux de pays inconnus, ils semblent réels et pourtant on arrive pas à les assimiler totalement au réel.
Mais vraiment ça n’apporte rien, surtout les paysages urbains.
J’aime beaucoup parce que cela produit des vues, ou des lieux, comportant plusieurs points de fuite, rappelant certaines expériences oniriques, ou de prises de substances, … Non ?
J’aime le concept, mais je ne trouve pas le résultat beau.
Je trouve que c’est plutôt intéressant comme concept. L’impression de vide donne une drôle d’impression je trouve.
Pas forcément très esthétique mais ça dégage une atmosphère qui me plaît.