
Eugène Atget (1857-1927 ) est un photographe français principalement connu pour ses photographies documentaires sur le Paris de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.
Dès les années 1880 et jusqu’à sa mort, il a documenté les rues et les habitants de Paris de manière systématique avec une chambre photographique utilisant des plaques en gélatino-bromure d’argent qui demandaient un long temps de pose.
Il s’intéressait particulièrement aux devantures des petites boutiques et aux petits métiers qu’il voyait disparaître.
À une époque où les photographes tentaient de se rapprocher de la peinture avec l’utilisation du flou, il réalisait des images détaillées, prenant soin du cadrage et de la lumière.
Il a réalisé de cette manière plusieurs dizaines de milliers de photographies qu’il vendait aux propriétaires des magasins ou à des artistes pour une somme modique, il vécut dans la pauvreté et c’est après sa mort que son fantastique travail fut découvert et apprécié à sa juste valeur.













































![[Place Saint-Médard]](http://laboiteverte.fr/wp-content/uploads/2013/11/Atget-Paris-Place-Saint-Medard1-612x750.jpg)
Superbe, merci !
Effectivement la lumière est splendide, cette couleur dorée/cuivrée… il se dégage des émotions alors même qu’on n’y voit parfois que des bâtiments vieillissants…
Très belles photos qui donnent envie de découvrir le Paris de cette époque !
Je ne sais ce qu’il en est des droits mais avez vous pensé à réaliser une revue ou un livre pour partager certains articles qui sont rééllement magnifiques?
Je suis émerveillé de ces photos que j’aurai pu ne jamais découvrir ou n’avoir même pas entendu parlé. Je n’ai qu’une seule peur en ces temps d’Internet incertains, c’est que ce savoir se perde.
C’est justement grâce à internet que les gens découvrent ces photos, c’est donc tout l’inverse. A ma connaissance Internet est un outils et non pas une broyeuse. La photographie n’a jamais été aussi active et les passionnés aussi informé que depuis internet.
Egalement la mode de la stenopé revient et ce grâce à Internet. N’oubliez pas que la peur n’empêche pas le danger mais elle paralyse.
Magnifiques photos !
Par contre, les nombreuses fautes d’orthographe de l’article piquent les yeux…
Images magnifiques.
Mais pitié…. Les fautes là, il faudrait faire quelque chose…
Oé c vré
Pourtant j’essaie de faire attention et je corrige toujours quand on me dit où elles sont :)
– il faut enlever l’un des deux ‘est’ de la première phrase
– il a documenté ou il documentait mais pas il documenté ;)
– je pense qu’il faut un accent sur gélatino-bromure
– disparaître sans ‘s’ ! c’est un infinitif voyons!
– il a vécu ou il vécut mais pas il vécu
Ça arrive de faire des fautes de frappe ou des coquilles, mais il n’y a pas de honte non plus à utiliser un correcteur orthographique !
signé: une grammaire nazie qui pardonne à ceux qui veulent apprendre et qui apprécie beaucoup ce site
Merci ! C’est corrigé.
J’ai quand même honte pour les deux premières que j’ai pas vu malgré plusieurs relecture, je devais pas être bien réveillé :D
belles photographies d’un temps résolu
révolu le temps ;-)
Merci, merci, merci. Atget est un de mes photographes préférés. Et là, j’en découvre certaines jamais vues (par moi) encore. Et les fautes d’orthographe, pour les photos, je m’en fiche un peu. Pourtant, je suis une maniaque… Merci encore.
Je découvre certaines photos. Pardon.
Y’a deux fois la même photo (jardin du Luxembourg)
Du zola en photos contemporaines.
Du Rougon-Macquart dans tout ce qu’il y a de beau, luxueux, crade et misérable.
La péripatéticienne a les genoux usés…
(oui on peut lire zola et faire des blagues de mauvais goût)
Ce que Paris était vivant, grouillant, pouilleux, crasseux, romantique, populaire, ouvrier, distingué, monumental et torturé en ce temps là… Aujourd’hui Paris est une ville Musée sans vie, bourgeoise et provinciale, abandonnée aux touristes, réservée aux Bobos et envahie d’Hispster !!! cherchez l’erreur ???