Diana Scherer utilise des racines pour créer ces réseaux et ces motifs.
Son but est de suggérer qu’il existe des aires communes entre les activités technologiques humaines et les formes d’intelligence que peut montrer la vie végétale.
Elle nomme ce processus « domestication du système racinaire ». C’est ce qui lui permet de créer ces intrications précises qui rejoignent la complexité et la beauté des réseaux informatiques.
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