Anna Reivilä s’inspire des travaux du photographe japonais Nobuyoshi Araki.
Dans cette série intitulée « bonds », elle s’attache à représenter les liens entre l’humain et le divin, à travers l’exploration de la symbolique du bondage japonais (kinbaku).
Ses images nous parlent de la relation éphémère entre les humains et le monde naturel, tout en établissant un dialogue entre la nature scandinave et les traditions japonaises.
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